D - 35 : Une journée en mode "non-stop fun"
Levé 15h40. Ce qui veut dire plus de 14h de sommeil. Donc la patate. Pas n'importe quelle patate : la patate atomique, celle qui a été cultivée juste à côté du coeur du réacteur 4 de Tchernobyl, celle qui fait 4 quintaux à maturité, et qui développe une sécretion de stéroïdes...
Bref, la gross, grosse, grooosse forme.
Après un moment "je prends quand même le temps de me réveiller tranquillou" en regardant le dernier épisode de Prison Break (sympatoche flashback, soit dit en passant) d'un oeil et en chattant avec Aude (Mon ex, et alors ? On est restés en bons termes, j'vous ai pas dit ?) de l'autre, je vaisme doucher. Test du nouveau gel douche à moi que j'ai (il m'en faut peu pour être heureux), il le fait bien. C't'une bonne chose, parce que j'aime pas balourder un flacon de gel douche neuf pour raison d'inacceptabilité olfactive, ou dermatologique, ou que sais-je.
Une fois propre et déodoré, il se met à faire faim. Or donc j'étrenne mon pot de moutarde neuf en faisant une vinaigrette sans vinaigre (vu que j'en avais plus), ce qui en soi ressemble fort à une mayo. Or donc concombre-feta-pseudomayo, avec oeufs aux lardons en guise de protéines.
Bon, c'est pas tout ça, mais il est temps de partir pour le théâtre.
Double répétition du premier acte, pas grand chose à y redire... Ah, si, mon masque de mammouth en papier mâché tient à peu près la route... plus qu'à y ajouter 2 oreilles en carton, percer les yeux et peindre. Ca devrait aller.
Du théâtre, rush au café lingua. 1h20 à papoter en franco-finno-anglais et à m'avalaer un capuccino.
22h. Le café où se tient le Cafe Lingua ferme. Je me retrouve avec Pierre (alias le chef du groupe de rock qu'on va peut-être faire un concert avant que je parte mais chut c'est presque un secret) et Anne-Laure (alias Anne-Laure, je la connais depuis assez peu, pas eu le temps de lui trouver un surnom de trois mètres... ah si, tiens !). Que faire ? Pierre suggère le rassemblement des membres du Jolly Dragon... Eh ben, qu'à cela ne tienne. Anne-Laure décide quant à elle de prendre le métro. Ok, elle bosse demain, ok elle habite pas à portée de marche, ok... mais elle aurait *pu* venir, quand même !!!
Bref, 22h40, je me retrouve au Memphis, bar assez chouette, entouré de gens, dont au final assez peu de têtes connues. Après avoir parlé de Saint Petersbourg avec une autochtone de là bas, évoqué le CPE avec un Californien, de comment un gars de Los Angeles se retrouve à faire un service militaire en Finlande, et de pas mal d'autres trucs...
1h du matin, le Memphis ferme. Mince, me revoilà dehors sans la moindre envie de entrer me pieuter. Le dernier carré décide donc de rejoindre le Bodega... de l'autre côté de la rue.
Je me retrouve donc avec Sol' du Canada, Paul d'Angleterre et Miko de Finlande autour d'une bière. Je papote pas mal avec Sol, qui m'explique qu'il habite une île au large de Vancouver, à 1h30 en bateau, moi je lui parle de ma lointaine banlieue parisienne, on échange, on communique, on dérive sur pas mal de sujets... C'est tranquillou.
Mais voilà, à 2h, c'est le Bodega qui nous fout dehors ! Oui, mais avant, il nous file des entrées gratos pour le Uniq, club d'à côté. Bon, ben, qu'à ela ne tienne, allons au Uniq danser à la soirée "Supercool" (putain que c'est naze comme nom pour une soirée).
Avec Sol et Miko, lâchés par Paul, on se rend donc au premier sous sol du bâtiment d'en face. Une bière plus tard, on se retrouve sur la piste. J'avais pas bougé mon corps comme ça depuis un bon moment, quelque part ça fait du bien.
3h30, après 30 minutes de rab', le DJ arrête. Entretemps, Miko s'est tiré. Reste Sol' et moi. Un verre d'eau gracieusement offert par le bar plus tard, on sort.
Le premier train est à 4h40... autant se poser au Stadin Kebab (toujours sur la même rue) et s'en avaler un, de kebab... Sitôt dit, sitôt fait. Un peu pompettes, nous devisâmes autour d'un kebab, je réussis à offrir un exposé concis sur le thème "Comment la France est partiellement responsable du merdier qu'a été la Guerre du Vietnam" (j'vous expliquerais à l'occasion). Solomon (car Sol est un diminutif, o' course) semblant attiré par Paris, on cause de la Capitale cependant que je finis mon assiette.
Nous quittâmes donc le Kebab à 4h30. Le temps d'avancer un peu et de faire quelques pas, j'arrive à la gare, et le temps d'en trouver un eentrée ouverte, je chope le train de 4h42 pour Tampere.
Je suis donc rentré chez moi à 5h du mat'. Il en est désormais 7. je vais aller faire un somme avant d'attaquer mon jeudi qui s'annonce pas mal : musique et sauna. :)
Oui, j'ai des horaires d'oiseau de nuit, et alors ?
Bref, la gross, grosse, grooosse forme.
Après un moment "je prends quand même le temps de me réveiller tranquillou" en regardant le dernier épisode de Prison Break (sympatoche flashback, soit dit en passant) d'un oeil et en chattant avec Aude (Mon ex, et alors ? On est restés en bons termes, j'vous ai pas dit ?) de l'autre, je vaisme doucher. Test du nouveau gel douche à moi que j'ai (il m'en faut peu pour être heureux), il le fait bien. C't'une bonne chose, parce que j'aime pas balourder un flacon de gel douche neuf pour raison d'inacceptabilité olfactive, ou dermatologique, ou que sais-je.
Une fois propre et déodoré, il se met à faire faim. Or donc j'étrenne mon pot de moutarde neuf en faisant une vinaigrette sans vinaigre (vu que j'en avais plus), ce qui en soi ressemble fort à une mayo. Or donc concombre-feta-pseudomayo, avec oeufs aux lardons en guise de protéines.
Bon, c'est pas tout ça, mais il est temps de partir pour le théâtre.
Double répétition du premier acte, pas grand chose à y redire... Ah, si, mon masque de mammouth en papier mâché tient à peu près la route... plus qu'à y ajouter 2 oreilles en carton, percer les yeux et peindre. Ca devrait aller.
Du théâtre, rush au café lingua. 1h20 à papoter en franco-finno-anglais et à m'avalaer un capuccino.
22h. Le café où se tient le Cafe Lingua ferme. Je me retrouve avec Pierre (alias le chef du groupe de rock qu'on va peut-être faire un concert avant que je parte mais chut c'est presque un secret) et Anne-Laure (alias Anne-Laure, je la connais depuis assez peu, pas eu le temps de lui trouver un surnom de trois mètres... ah si, tiens !). Que faire ? Pierre suggère le rassemblement des membres du Jolly Dragon... Eh ben, qu'à cela ne tienne. Anne-Laure décide quant à elle de prendre le métro. Ok, elle bosse demain, ok elle habite pas à portée de marche, ok... mais elle aurait *pu* venir, quand même !!!
Bref, 22h40, je me retrouve au Memphis, bar assez chouette, entouré de gens, dont au final assez peu de têtes connues. Après avoir parlé de Saint Petersbourg avec une autochtone de là bas, évoqué le CPE avec un Californien, de comment un gars de Los Angeles se retrouve à faire un service militaire en Finlande, et de pas mal d'autres trucs...
1h du matin, le Memphis ferme. Mince, me revoilà dehors sans la moindre envie de entrer me pieuter. Le dernier carré décide donc de rejoindre le Bodega... de l'autre côté de la rue.
Je me retrouve donc avec Sol' du Canada, Paul d'Angleterre et Miko de Finlande autour d'une bière. Je papote pas mal avec Sol, qui m'explique qu'il habite une île au large de Vancouver, à 1h30 en bateau, moi je lui parle de ma lointaine banlieue parisienne, on échange, on communique, on dérive sur pas mal de sujets... C'est tranquillou.
Mais voilà, à 2h, c'est le Bodega qui nous fout dehors ! Oui, mais avant, il nous file des entrées gratos pour le Uniq, club d'à côté. Bon, ben, qu'à ela ne tienne, allons au Uniq danser à la soirée "Supercool" (putain que c'est naze comme nom pour une soirée).
Avec Sol et Miko, lâchés par Paul, on se rend donc au premier sous sol du bâtiment d'en face. Une bière plus tard, on se retrouve sur la piste. J'avais pas bougé mon corps comme ça depuis un bon moment, quelque part ça fait du bien.
3h30, après 30 minutes de rab', le DJ arrête. Entretemps, Miko s'est tiré. Reste Sol' et moi. Un verre d'eau gracieusement offert par le bar plus tard, on sort.
Le premier train est à 4h40... autant se poser au Stadin Kebab (toujours sur la même rue) et s'en avaler un, de kebab... Sitôt dit, sitôt fait. Un peu pompettes, nous devisâmes autour d'un kebab, je réussis à offrir un exposé concis sur le thème "Comment la France est partiellement responsable du merdier qu'a été la Guerre du Vietnam" (j'vous expliquerais à l'occasion). Solomon (car Sol est un diminutif, o' course) semblant attiré par Paris, on cause de la Capitale cependant que je finis mon assiette.
Nous quittâmes donc le Kebab à 4h30. Le temps d'avancer un peu et de faire quelques pas, j'arrive à la gare, et le temps d'en trouver un eentrée ouverte, je chope le train de 4h42 pour Tampere.
Je suis donc rentré chez moi à 5h du mat'. Il en est désormais 7. je vais aller faire un somme avant d'attaquer mon jeudi qui s'annonce pas mal : musique et sauna. :)
Oui, j'ai des horaires d'oiseau de nuit, et alors ?