J+21 : Helsinki's Burning !

Publié le par Q1

Helsinki brûle !
Non, ne paniquez pas. Helsinki fume seulement.

De fait, cet après-midi, avec le n'Alex, on s'est retrouvé à chanter des chansons sympas (Les filles de Camaret, Les Trois Orfèvres...) dans sa piaule. Une délicate odeur de pain chaud nous montait peu à peu aux narines.

Après deux ou trois chants paillards à souhaits, le Alex tilte et s'écrie quelque chose comme "Merde, mon pain !".
Je le suis, sortant de la chambre pour gagner l'espace commun. Un brouillard de fumée grise envahissait (depuis peu, l'alarme n'ayant pas été encore atteinte) la pièce commune. Procédure d'urgence, on se rue sur les fenêtres en espérant que l'alarme ne sera pas atteinte avant que l'on puisse aér... BIIIP BIIIP BIIIP BIIIP BIIIP
Et meeeerde ! Derechef, nous parton sen quête de la poignée de fenêtre qui permet d'ouvrir VRAIMENT les fenêtres (en fait, seule la petite partie destinée à une aération de bon aloi est munie d'une poignée inamovible.... isolation oblige) et pis la porte atnt qu'on y est. Erreur ! Parce que là, on risque de faire sonner l'alarme du couloir, ce qui risque fort de rameuter les pompiers.

Quelques minutes plus tard, la situation est sous contrôle, on commence à respirer. Crise passée.
Etat de l'immeuble : intact
Etat du four : nickel
Etat de nos poumons : un peu intoxiqués, rien de méchant. Pas pire que 3 ou 4 clopes, je pense.
Etat des trois tranches de pain de mie : carbonisées.

[ellipse]

Ce soir, Yoann passe avec deux bières. Tite soirée cool. A un moment donné, je jette un oeil par la fenêtre, intrigué par une lueur bleue clignotante se reflétant dans les vitres de l'immeuble d'en face.
Traversée de l'immeuble, observation :
Quatre camions de pompiers se tiennent en stand-by dans la rue derrière le parking, un 4x4 de pompiers est dans la rue sur le côté de l'immeuble. On voit passer deux soldats du feu en combinaison et bouteilles d'air qui rentrent en courant dans l'immeuble 5B (celui qui jouxte le mien).
Le temps de descendre voir ce qu'il se passe ("on évacue de suite ou on attend ?"), les pompiers ressortent.

Hélas, hélas... la tartine cause de tout ce tracas est décédée, brûlée au dernier degré par le grille-pain d'un des locataires.
Deux grosses fumées en une journée, moi je trouve ça rigolo. Les pompiers qui ses osnt déplacés pour rien, moins, je pense.

Publié dans Coloch ness

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P
Eh monsieur pinguoin faut pas tout preendre à la lettre. quand je te dis que tu vas mettre le feu à Helsinki c't'une image. C'est pour la iesta, pas pour de vrai Gaffe !
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P
Pauvre grille pain... Et pauvre tartine !<br /> <br /> Eh ben les mecs et la cuisine, ça changera jamais, y laissent tout cramer !<br /> <br /> Meuh non aller je te taquine ;) Je voudrais pas que le Pingouin Stellaire se retrouve le roussis aux plumes !<br /> <br /> Bisous tout plein
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